J'ai été bien occupé ces derniers temps. Pleins de changements ont eu lieu. Par exemple, le tribunal du Seeland, m'a mis une amende pour avoir fait mon travail, sans me laisser la moindre chance de me défendre. Mais, comme mon patron a décidé de la régler, tout en me licenciant, elle n'apparaît point ici.

Depuis, je travaille ma foi en l'Univers, que je prie parfois me fournir une occupation lucrative amusante, histoire de régler les factures s'accumulant. Par chance le propriétaire de la maison que j'occupe est une très belle personne, ne songeant pas me virer pour faute de virement.

Là, faut que je réponde à Gabriella de l'office des poursuites, pour lui expliquer qu'elle a un train de retard, et que j'ai déjà reversé sous forme de dons tout ce qui excédait mes besoins dans les sommes gagnées lors de mes précédents soutiens sur la route.

Au travail!

13.01.25 : L'OP

Comme Gabriella s'est dénoncée comme interlocutrice de référence pour les réponses parvenant à m'être extorquée par l'OP, nous ne pouvons qu'imaginer que c'est elle qui aura su demander par téléphone un papier signé de son ex-mari pour confirmer qu'elle est bien parvenue s'en défaire, à la délicieuse maman de mes enfants.

Quelle petite indiscrète que cette Gabriella. Une petite cochonne, vicieuse à souhait.

J'en ai, évidemment profité pour me débarrasser de quelque vieux dossiers m'encombrant l'entendement. Par exemple un message me transformant en un ignoble salaud avoir fomenté quelque sous-entendu inconnu. Et autres accusations bidons.

Merci la vie

15.01.25 : Reconnaissance en séparation

Et voilà. Gabriella n'a rien écouté et m'envoie les gens d'armes, qui me demandent gentiment de les craindre et me comporter en brave petit sujet de sa grandeur toute puissante : l'administration

Je vais gentiment leur expliquer avoir déjà dit non.

18.03.25 : Cercinelli

Finalement Cercinelli s'appelerait Cuccinelli et serait la charmante secrétaire du petit chef obtu m'ayant dérangé téléphoniquement, menacé, fomenté mon inutile kidnaping et surtout dénoncé au contrôle des habitants local.

Comme annoncé, l'office des poursuites n'a strictement rien obtenu de moi, même si j'y ai appris la disparition de Gabriella, ayant été remplacée par Michael, avouant allégrement ne point souhaiter réfléchir le fondement de sa fonction pour profiter des petits privilèges associés

Aujourd'hui, je dois présenter des excuses à Pauline pour avoir tardé lui répondre

20.05.25 : Pauline

Pauline n'est plus, puisse son âme reposer en paix. Yvan la remplace et revient avec la même question déjà répondue malheureusement.

22.06.25 : Yvan

Pour une fois, je n'ai pas vraiment été interpelé, bien que j'aie été séquestré, si on puis le dire, puis menacé d'être dénoncé à la police pour m'être barré de l'hôpital. Ceci dit, mon interlocuteur n'a rien à voir avec ça, même s'il bosse pour le système médical, tentant de plus en plus imposer son point de vue. Un très gentil gars, dont je suis content d'ignorer le nom, ici.

Aujourd'hui, j'ai envie de rappeler que dans tous les bureaux officialisés, dans toutes les strates normalisées, ce sont nos frères humains qui oeuvrent, et ils n'ont pour seul et unique tort, qu'une divergence de convictions. J'ai droit aux miennes, ce n'est certainement pas pour leur ôter le choix des leurs, même si c'est nocif et corrosif, par contre, j'ai aussi la liberté les inviter à réfléchir...

24.06.25 : Doc

J'ai beaucoup de peine pour tous ces gens croyant pouvoir générer la paix en portant arme et gilet pare-balles pour défendre les systèmes

Un très gentil agent m'a appelé alors que je venais enfin de parvenir m'endormir au sein de mes souffrances du moment dues à mon accident, dont j'assume l'entière responsabilité même si je ne m'en sens pas la moindre coupable.

26.06.25 : Police

Encore un Yvan. Le même agent me relance pour la même chose très exactement.

Si je ne fais pas ce que l'administration exige, elle va lancer contre moi ses gens armés...

La routine habituel en le monde de l'agressivité, violence, ... Les menaces volent bas...

09.07.25 : L'agent Yvan

Yvan, le premier, n'est pas content, visiblement, mais, ne sait pas comment le dire...

12.07.25 : Yvan 1, le retour

La maman de mes enfants a voulu régulariser leur situation et s'est adressée au contrôle des habitants de leur nouveau lieu de vie, qui est le même que celui de l'ancienne maison car les deux villages font partie de la même commune.

Voilà-t-y pas qu'on lui demande me réclamer une autorisation poser les papiers de mes enfants où elle veut...

Si ça peut tous les rassurer, allons-y...

28.08.25 : CDH Fleurier

Il y a une quinzaine, la police débarqua pour récupérer mon permis de conduire, sous prétexte que le Service des autos n'aurait pas mon adresse, alors qu'elle arrive parfaitement me faire parvenir factures et rappels...

Là, Chloé revient me demander mes coordonnées postales que les gars armés et planqués derrière leurs gilets pare-balles auraient dû lui transférer...

Nous atteignons certains confins de l'infinie bêtise administrative, tâchons y mettre joie et bonne humeur

21.09.25 : Chloé du SCAN

Aujourd'hui, j'ai bossé un bon moment pour répondre à l'administration. Mais, je peux commencer par un grand plaisir avec un tout petit mail à Yvan du village.

27.10.25 : Beau boulot

Le contrôle des habitants de Fleurier croit me siffler pour des conneries abusives, mais, joint à ses injonctions un bout de copie du présent site????

27.10.25 : Ludovic

Le service des autos sait très bien à me faire parvenir ses factures, mais, pour ce qui est des infos évitant des frais inutiles... Nous nous enfonçons dans un méga bain de stupidité...

27.10.25 : SCAN

Damien Roduit
Grand-Bourgeau 108
2126 Les Verrières
saint.damat@gmail.com

Les Verrières, le 15 janvier 2025

Sylvia Lanz
Ex-Chouchette
La maison
2113 Boveresse

Reconnaissance en séparation

Bonjour hypra-trop-sexy toi,

Comme d’hab, tu n’as strictement aucune obligation de me lire. Tu es toujours irrémédiablement libre. Ceci dit, il te serait peut-être bien judiciable de réfléchir à ce que je vais tenter de t’expliquer. La prochaine fois que tu me jetteras à la tronche l’une de tes projections insultantes, comme dans ton dernier message, je ne fermerais peut-être plus ma gueule comme tu l’avais demandé.

Accroche-toi bien, c’est facile à comprendre.

L’OP est l’une des innombrables têtes de l’égrégore : «système», générée par l’imagination débridée de l’homme. Un monstre illusoire parmi bien d’autres. Les personnes y travaillant ne sont pas des connards. Sauf si par là, tu entends de pauvres frères et sœurs humains dotés d’un point de vue différent les amenant à croire en la matrice bienfaitrice. De braves gens éblouis par le diable, ou plutôt leurs propres zones d’ombres.

Nous avons choisi de croire ailleurs, en une réalité supérieure, un avenir meilleur. C’est notre choix. Tu peux m’en vouloir à moi, si tu ne veux pas accepter ta responsabilité, mais en aucun cas à eux. Ils ne sont que des victimes, pour la plupart innocentes et totalement inconscientes de leur condition.

C’est plus clair ainsi ?

Jamais, je n’ai pensé, même lorsque je subissais ton acharnement à me démonter afin de te démontrer le bien-fondé de ton choix nous séparer, m’être choisi une compagne de piètre valeur. JAMAIS ! C’eût été me diminuer moi-même, un sacrilège.

De plus, si, lorsque je te vois passer, je te trouve charmante, sexy, attrayante et que ça génère en moi envie de déguster ton intimité, voir même te sodomiser joyeusement, pour autant que tu le veuilles bien, c’est un sentiment d’attirance naturel et d’une pureté absolue, parce que : «pour autant que tu le veuilles bien».

Si en passant près de moi, tu te sens salie par mon admiration, à l’encontre de mon intention, l’origine de ce sentiment désagréable se trouvera très probablement quelque part en une zone de ta conscience se voyant négligée ou carrément souillée par quelque erreur d’appréciation. En aucun cas chez moi.

Je suis totalement incapable de t’insuffler la moindre confiance en toi, même si j’en possède une sacrée dose, pour ne pas dire une dose sacrée. Longtemps je l’ai profondément regretté. De la même veine, je ne suis point en mesure, même si je l’avais voulu, t’en retirer ne serait-ce qu’une once. Pas le moindre chouilla, rien, quedal, nada.

Interpréter de travers mes propos, par contre….

Je suis responsable de ce que je dis. J’assume. Merde le système, j’aime la société et les gens. Toi, je t’ai aimée au-delà de la raison, et je t’aime toujours comme je peux, de mon mieux, à ma façon.

Par contre, je n’ai strictement rien à voir avec ce que tu décides de comprendre. Sinon, tu en viendrais immanquablement à avoir envie venir me permettre à nouveau contempler ton formidable popotin.

Ce que nous sommes aujourd’hui, se construit en partie sur la présence de l’autre. Nous ne pouvons pas l’effacer. Pour ma part, je ne le voudrais à aucun prix, même si c’eût été possible. Je te suis infiniment reconnaissant pour le superbe trouduc que je suis en train de devenir. Jamais, je ne m’étais senti aussi proche de ma spiritualité. T’avoir choisie à un moment donné y a grandement participé.

Je ressens essentiellement de la gratitude à ton endroit. Et accessoirement, parfois, quelques petits chatouillis au niveau du caleçon lorsque je me laisse aller à me souvenir de ta splendeur en la nudité.

Ceci dit, je travaille à déplacer mon image de La Femme sur une autre, pour te libérer encore plus. Ou pour mieux me libérer de toi, selon comment on regarde. Comme je cherche mieux, voir, au pire, au moins aussi enthousiasmant, ça prend un peu de temps. Il n’y en a probablement qu’une seule sur quelques milliards. Mais, je garde bon espoir. Là, j’en ai trouvé une acceptant de jouer à s’écrire parmi avec moi, sur le fameux sujet de la liberté. Peut-être l’envoyée du hameau divin ? Qui sait ?

Ce qui est sûr, c’est que tu devrais vraiment cesser te faire croire savoir mieux que moi ce que je pense. Tu risques fort de te faire mal à ce petit jeu à la con. Pour le reste, tout le reste, il subsiste un doute. Un merveilleux doute, sur lequel se fonde l’infini champ des possibles.

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