Au départ, j’avais juste voulu montrer à la secrétaire communale de notre lieu de vie, ce que ça faisait lorsque je balançais nos échanges témoignant de sa flagrante mauvaise foi, sur la place publique de mon site internet familial.
Le président de la commune n’ayant pas savouré a payé, avec les deniers publics très probablement, un avocat pourrave pour me faire taire.
C’est comme ça que cet espace est né, et que j’ai décidé poser au vu et sus de tous, mes échanges avec l’administration.
Treize ans plus tard, je dois constater, avoir inscrit en moi, entre autres grâce à cet exercice, la certitude que la seule autorité viable est la petite voix que j’entends en moi. Mon guide, ange-gardien, instinct, ami-imaginaire, Dieu, inconscient, …. Je l’appelle Ayaha.
J’avais sept ans, et je me demandais comment s’appelait ce courant de sagesse me traversant, j’étais concentré sur cette interrogation et n’ai pas entendu arriver ma mère. Le son que j’émis au moment de me faire décoller du sol agrippé par l’oreille, m’apparut comme la réponse.
Sous le joug de l’éducation, je l’avais perdu de vue, mais, à force de travail, je le retrouve de plus en plus. Clarifier ma position quant aux systèmes, m’y aura aidé. Je sais de mieux en mieux qui je suis, et ça n’a pas grand-chose à voir avec le matricule : Damien Roduit...
Saint-Damat
La vérité est une vitamine